La capacité à communiquer au moyen du langage est une compétence d’une remarquable complexité. Nos travaux portent sur les mécanismes neurologiques qui sous-tendent la production et la perception de la parole et de la voix. Ils visent à mieux comprendre comment les sons du langage sont perçus et comment ils sont produits. Nous utilisons l’imagerie par résonance magnétique (IRM) multimodale (fonctionnelle, structurelle, diffusion), l’électroencéphalographie (EEG) et la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) pour étudier les mécanismes neurologiques impliqués dans ces processus. Nous nous intéressons aux liens entre la structure du cerveau (p. ex. épaisseur corticale, volume de matière grise, connectivité), ainsi son fonctionnement, et les habiletés de communication, notamment le débit de parole, la qualité articulatoire et la capacité à percevoir des sons ambigus ou présentés en contexte de bruit. Nous sommes également intéressés par la relation entre les fonctions de communication et les fonctions cognitives, comme l’attention et la mémoire de travail.

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